Photographie : Nio
Déjà implanté dans cinq pays du continent, Nio fera évoluer sa stratégie pour les pays suivants. La priorité sera donnée au déploiement du réseau d'échange de batterie.
La chose peut paraître étonnante de la part d’un constructeur qui a forgé une bonne partie de son image et bâti sa stratégie autour du principe de l’échange de batterie. Pour son implantation en Europe, Nio n’a vraisemblablement pas mesuré correctement l’importance du développement de son infrastructure pour convaincre le client européen en lui proposant une expérience différente…
Sur les cinq pays dans lesquels il est présent (Norvège, Suède, Danemark, Pays-Bas, Allemagne), le constructeur chinois n’opère que 25 stations. Cela ne l’a certes pas vraiment handicapé au démarrage sur le marché norvégien, mais c’est nettement insuffisant par exemple pour l’Allemagne.
Dont acte, pour les prochains pays, la stratégie sera différente. Avant de commencer à vendre ses véhicules, Nio compte s’assurer une densité minimale de stations. Seul problème, l’administration… En Chine, les démarches pour implanter une nouvelle station d’échange se comptent en semaines. En Europe, on table sur plusieurs mois…
Cette évolution de la stratégie de Nio entraînera un certain décalage. Car si après les cinq premiers pays, on pouvait s’attendre à voir France, Belgique, Suisse, Luxembourg ou Royaume-Uni compléter l’offre au premier semestre 2024, il faudra sans doute prévoir quelques mois supplémentaires. En contrepartie, il est probable que Nio mette les bouchées doubles en 2024 pour le développement de son réseau sur notre continent. Rappelons que le petit constructeur est capable de déployer à grande échelle. Il prévoit ainsi de déployer pas moins de 1 000 nouvelles stations en 2023 en Chine. Un pari osé, qui semble en bonne voie.
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Trop cher à mettre en place, pas du tout écologique car la batterie c’est ce qui pollue le plus à produire et il n’y aura jamais de standard. Le seul avenir de cette solution aurait été pour les camions car les batteries sont énormes. Une station sur aire d’autoroute avec des panneaux solaires pour recharger les batteries vides. Mais ce n’est pas du tout écologique d’avoir 5 batteries de 2 tonnes en stock par aire d’autoroutes…
Trop cher à mettre en place, pas du tout écologique car la batterie c’est ce qui pollue le plus à produire et il n’y aura jamais de standard. Le seul avenir de cette solution aurait été pour les camions car les batteries sont énormes. Une station sur aire d’autoroute avec des panneaux solaires pour recharger les batteries vides. Mais ce n’est pas du tout écologique d’avoir 5 batteries de 2 tonnes en stock par aire d’autoroutes…
Il vaut mieux investir dans la charge rapide
J’ai du mal à comprendre un intérêt à cette machine a gaz
les recharges sont de plus en plus rapide avec une autonomie qui s’améliore.
alors soit c’est encore largement plus lent qu’avec un thermique mais cela devient acceptable.
la c’est un système en retard de 20 ans avec better place
apres si l’argent coule à flots chez ce constructeur….
Qui est le grand argentier derrière Nio ??
Déjà que investir dans la construction de VE, c est chere. Investir dans les batteries, c est très chère ! Mais alors en plus investir dans ces stations d échange ?!?!?!
Sans aucune assurance qu un standard commun émerge un jour.
Oui, sur le papier, c est plutot une solution interessante et pertinente mais dans la pratique, c est compliqué a mettre en place.
Vous vous êtes fait avoir avec la locabat de Renault pour la Zoé ???
Et bien , vous avez le droit d’y revenir avec Nio et sa location de batterie !!!
C’est vrai, qu’objectivement, il n’y a AUCUN progrets dans le développement des réseaux de superchargeurs, ni même dans les vitesses de charges des derniers VE etc etc …
Ou alors c’est pour les nostalgiques de Better Place !!!