La coentreprise née du groupe PSA et de l’équipementier Punch Powertrain fournira les transmissions embarquées à bord de futurs véhicules hybrides légers et hybrides-rechargeables.
Le groupe PSA renouvelle son partenariat avec le fabricant belge de boîte de vitesse Punch Powertrain. Les industriels ont lancé le 17 septembre 2020 les opérations de leur seconde coentreprise baptisée « Punch Powertrain PSA e-transmissions ». La joint-venture assurera la conception des transmissions « DT2 » qui seront exploitées par les futures générations de véhicules hybrides légers 48 V et hybrides-rechargeables.
Il s’agit d’une boite à double embrayage économique, spécialement conçue pour intégrer un moteur électrique grâce à une réduction du volume occupé. La transmission accepte jusqu’à 20 kW (27 ch) de puissance en hybridation légère et 90 kW (122 ch) en hybride-branché. Les économies de carburant sont respectivement estimées à 15 et 75 % par le fabricant.
Détenue à 61 % par Punch Powertrain, la coentreprise débute avec 300 employés transférés par l’équipementier. Les transmissions seront conçues sur les sites de Saint-Trond en Belgique et d’Eindhoven en Hollande. Durant l’été 2020, une première joint-venture avait été créée pour cadrer l’assemblage des transmissions DT2, qui sera effectué dans l’usine PSA de Metz en France.
Je ne comprends pas pourquoi à aucun moment il n’est envisagé des petites motorisations hybrides sur une base de petit moteur thermiques (genre un bi-cylindre 600 cm3 de 45 cv) qui permet de faire des kilomètres sans problèmes pour du maintien d’allure accompagné d’un petit moteur électrique (à peu près 30cv) qui permet d’aider le moteur thermique en phase de démarrage ou d’accélération et largement suffisant en tout électrique en zone urbaine. Sur les petites urbaines/compactes utilisées à la campagne j’ai du mal à voir l’intérêt d’avoir 120 cv comme le propose par exemple Toyota avec sa Yaris.